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EMBARQUEMENT IMMEDIAT...

27 septembre 2009

Etincelle...

" Ce n'est pas en broyant du noir qu'on fabrique la lumière..."
Gui Erick

On a tous ces moments-là, où on a l'impression que l'obscurité recouvre tous les projets de demain... où aucun soleil ne semble vouloir se lever...
On a tous ces périodes de doute, de tâtonnements et d'hésitation... où l'esprit court dans toutes les directions sans arriver à trouver celle qui nous permettrait d'avancer un peu plus loin...
On a tous parfois, des visions d'apocalypse de soi... où l'on croit entendre sonner les dernières trompettes...
C'est humain...

C'est humain, parce que seuls ceux qui n'ont que des certitudes sont définitivement arrêtés sur leur chemin. Que peut-on espérer quand d'avance on croit que l'on est arrivés au stade de l'ultime connaissance, sans plus aucun apprentissage à recevoir, sans aucune place donnée à ces hasards de la vie qui nous aiguillent de façon totalement imprévue et imprévisible...
La certitude de son devenir est bien pire que ses interrogations...

Toutefois, ces moments où l'on broie du noir, inévitables, et peut-être nécessaires, sont naturels et il faut les accepter pour ce qu'ils sont : des charnières entre deux états de l'être, il est bon de ne pas s'en délecter, de ne pas tomber dans l'auto flagellation, dont on se déculpabilise à grands coups de "j'y peux rien"... parce qu'on peut toujours quelque chose...
L'obscurité n'est pas un néant...

L'obscurité n'est que la face cachée de la lumière... une étape transitoire dans un cycle d'alternance de jours et de nuits qui ont leur utilité dans notre construction. Ce n'est jamais de ces moments là que la lumière jaillit, mais c'est de la volonté de ne pas rester bloqué derrière les murs de notre caverne, quand on sait que le soleil, un peu plus loin est déjà levé... et qu'il nous suffit de nous relever, de faire quelques pas pour en retrouver tout l'éclat...

Dans le noir, on a du mal à lire, à voir... et parfois même à entendre et à comprendre, parce que l'on ne peut pas se baser sur les mêmes repères, mais cette plongée dépaysante qui dégomme parfois nos acquis, offre la chance de nous ouvrir à d'autres pensées et réflexions... et sans qu'on s'en aperçoive, nous permet de mesurer nos forces en nous jetant à l'aveugle dans une prise de conscience de nos fragilités et de nos faiblesses...
La fragilité n'est pas un défaut... elle existe en chacun de nous, à des seuils et des limites différents pour chacun. Pouvoir l'accepter et la toiser n'est pas dévalorisant, bien au contraire...

C'est en ne fermant pas les yeux sur nos difficultés d'être qu'on peut trouver les solutions...
La politique de l'autruche, même celle qui consiste à clamer haut et fort, toujours et toutes circonstances que "tout va bien" a aussi ses limites...



www.justedesmotsquinousressemblent.com

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25 septembre 2009

Est-ce que quand la nuit tombe, elle se fait mal ?...

Et est-ce pour cette raison que le ciel se transforme, comme si il était devenu un cocard géant ?...


lune


Parfois la nuit tombe si brutalement... que même si l'on s'y attend, cela nous surprend...
Parfois on dirait qu'elle prend son temps, comme pendant ces longues soirées d'été où le jour n'en finit pas de décliner, comme une longue glissade de la lumière vers l'obscurité...

Et puis comme quand on vient de prendre un coup, tout d'un coup, on voit mille étoiles scintiller au-dessus de nous... sans bien savoir si ce sont elles qui tournent autour de nous, ou bien nous, qui tournons autour d'elles...
C'est vrai, parfois, c'est comme un vertige quand on se plonge les yeux en plein milieu de cette sombre immensité, relevée ça et là de petits points lumineux, qui semblent clignoter de loin en loin...
Et l'on se sent voyager dans les couloirs de l'espace temps, à s'en demander si le jour et la nuit relèvent plutôt du temps ou plutôt de l'espace...

spaceball

Est-ce que l'amour ça se prête ?...

spaceball

etoile_rose

24 septembre 2009

Quand la machine se grippe...

" Nous avons en permanence affaire à des occasions formidables, parfaitement travesties en problèmes insolubles."
Margaret Mead

Dès qu'on pose le terme de "problème", on ne peut s'empêcher de lui attribuer une connotation négative...
Pourtant, un problème n'est jamais qu'une situation à laquelle nous n'avons pas encore donné (ni même trouvé) de réponse, et on  ne peut pas d'emblée, l'estimer comme négatif à notre égard.

C'est notre paresse d'esprit innée qui nous pousse à voir ce nouveau défi, la situation problème, comme quelque chose de potentiellement "mauvais" à notre égard, mais ce n'est encore qu'un effet de notre imagination, laquelle en projetant ce genre de pensée, répand sur notre monde une négativité qui nuit à un réflexion sensée et suffisamment élargie pour aller puiser des "solutions" dans tous les champs du possible.

Mais il faut bien l'admettre : personne ne passe une vie entière sur le même problème sans le surmonter partiellement ou en totalité...

www.justedesmotsquinousressemblent.com

24 septembre 2009

Si... ?

" Si le cheval connaissait sa force, serait-il assez fou pour accepter le joug comme il le fait ?
Mais qu'il devienne sensé et qu'il s'échappe, alors on dira qu'il est fou.
"
August Strindberg

La race humaine a réussi à dominer le monde... enfin dominer n'est peut-être pas le mot exact : elle a réussi à s'imposer au-dessus de toutes les autres créatures vivantes et à (se) convaincre que la terre lui appartient, comme s'il s'agissait d'une évidence première...
Mais qui est cette "race humaine" ?...
Un ensemble d'êtres "humains", à la fois tous semblables et tous uniques, qu'on englobe sous un terme général, et qui ne fait aucune autre distinction que celle de la biologie qui, à la fois, nous différencie des autres espèces, et nous lie les uns aux autres...
Ainsi intégrés à un "ensemble" identifié, nous portons nous aussi notre joug, faits de contraintes quotidiennes imposées par nos modes de vie en société.

Nous sommes tous, comme ces chevaux qui, bien que possédant la force, acceptent malgré tout le joug...
La question est de savoir : pourquoi le faisons-nous ?...
Dès qu'on frôle un peu les bords, et que l'on tend vers le refus ou la différence, les foudres du jugement porté sur la marginalité apparaissent...
La marginalité est hors normes... et l'amalgame devient rapide et facile entre la marginalité et l'anormalité ou plutôt l'a-normalité !... avec un "a" servant simplement de préfixe privatif.

Nous ne sommes pas très éloignés du cheval, nous acceptons le joug parce que nous ne savons pas que nous pourrions aussi vivre sans... et que nous avons les moyens de le refuser sans nous mettre nécessairement en danger.
Tout réside dans ce constat simple : "l'imagination est plus forte que la raison" (Emile Coué). Nous imaginons qu'il n'est pas possible de vivre autrement que comme nous avons toujours vécu, comme on nous a enseigné à nous comporter...
C'est de la non remise en cause de préceptes et principes considérés comme "normaux", que nait notre soumission.

Nous possédons beaucoup plus de ressources et de moyens que nous n'osons l'imaginer, mais refuser le joug pour la liberté a un prix... que nous ne sommes pas toujours prêts à payer, alors nous acceptons le joug comme un moindre mal, par rapport à la conquête d'une liberté qui nous semble relever plus encore du défi impossible que de l'envie.
Et nous préférons serrer les dents sur notre mors invisible... que nous sentir libres et indomptables dans un monde que l'on ne maitriserait pas...
L'avantage que nous y trouvons est évident : élément d'un "tout" dominant, nous nous sentons puissants, alors qu'en marge et en sous effectif, on se sent vulnérables...

C'est en échange de ce joug que nous achetons nos conforts de vies et notre sécurité... ...


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21 septembre 2009

Vogue le navire...

" Un bateau amarré dans un port est en sécurité, mais ce n'est pas à cette fin qu'il a été construit".
William Shedd


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20 septembre 2009

L'impossible simulation...

" Quand deux êtres se sont aimés, ils ne peuvent se dissimuler la moindre absence de tendresse dans un baiser."
Graham Greene

L'amour, partagé évidemment, reste une recherche constante. Les temps changent, nos façons de vivre évoluent, mais cette recherche-là reste la même depuis la nuit des temps...
Pourtant que les chemins de l'amour sont donc tordus !... et les bilans pas toujours aussi tranchés que positif ou négatif... Toute une palette s'y décline...

Quand deux êtres s'aiment, inévitablement à un moment donné, une sorte de fusion se produit. Elle n'est ni désirée ni anticipée, juste elle apparait dans ces premiers moments, si intenses, de découverte de l'autre, à la fois dans sa différence et dans sa similarité. Il y a toujours comme une sorte de "reconnaissance" de l'autre à l'origine du sentiment qui se développe.

Peu importe de quelle façon on "reconnait" cet autre, la relation particulière et unique qui se tisse ouvre nos sens à des perceptions plus vastes. Ainsi au-delà de ce que l'on voit, nous développons une sorte d'intuition de l'autre, qui nous rend attentif sans qu'on s'en rende compte, à plein de petits détails... Et l'on ne peut pas ne pas sentir les changements, même infimes, qui font évoluer l'histoire...
Aucune simulation n'est possible dans les histoires d'amour qui ne se mentent pas : on n'y trompe de toute façon que soi-même... parce que l'autre peut se faire complice du mensonge, mais rarement en être réellement dupe. Il est des mensonges qui arrangent tout le monde, comme des vérités qui dérangent...

Le baiser est le langage de prédilection de deux êtres qui s'aiment, il est le reflet de ce lien et son thermomètre aussi... on ne peut pas feindre son intensité ou sa tendresse. Première porte d'accès à l'intimité de l'autre, quand le baiser ne se donne plus que du bout des lèvres, on sent bien que les charnières de l'histoire sont en train de se gripper...

Quand on n'a plus la tendresse au bord des lèvres, c'est que nos cœurs se sont refermés...

......

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15 septembre 2009

Fil rouge...

" Le plaisir est tout compte fait un guide plus sur que le droit et le devoir."
Samuel Butler

Et on peut le constater à tous les niveaux de la vie...

Accomplir un devoir peut procurer la satisfaction d'être digne d'une confiance, d'un privilège qu'on nous donne ou un d'un honneur que l'on nous fait, et peut en ce sens procurer un certain plaisir.

Faire triompher le droit, le sien propre ou celui d'autrui, de la même façon, conduit à une satisfaction : la reconnaissance du bien fondé de ses actes ou convictions, avec en parallèle une certaine fierté.

Toutefois dans certains domaines, on ne peut pas chercher seulement la satisfaction ou la fierté, on a besoin de plus que ça... et notre niveau de progression sur notre "bonne" voie ne peut se mesurer que sur l'échelle du plaisir, à la fois donné et ressenti...

Dans notre culture encore empreinte des remparts de la pensée judéo chrétienne, il n'est pas de bon ton de placer le plaisir au-dessus du devoir ou du droit... pourtant si l'on veut trouver le chemin un minimum épanouissant, c'est bien par le plaisir qu'on en retire...

Le principe de plaisir régit nos vies, et l'altruisme pur relève du fantasme... ou du masochisme...
Et ceux qui disent le contraire ne sont peut-être pas aussi "désintéressés" qu'ils veulent le donner à penser...

Même l'humilité a ses limites, quand elle se confronte à notre bien-être... même si on a du mal à l'avouer...

......

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14 septembre 2009

Ce qui compte vraiment ?...

" Dans une vie sans passion, le superficiel devient le meilleur substitut à ce qui compte vraiment."
Philip Mc Graw

L'attrait pour le superficiel est effectivement un signe de manque d'ancrage dans la vie. Le superficiel c'est de l'anti-passion : quand on a dans sa vie et en soi, suffisamment d'attraits et d'intérêts, le superficiel trouve difficilement sa place. On ne peut pas perdre de temps, précieux, à entretenir des chimères sans consistance, qui n'ont aucun autre but que de faire illusion et écran, à ce que l'on est vraiment...

On le constate amèrement en ces temps de morosité décadente, qui nous poussent à nous interroger sur notre devenir et sur le bilan à tirer de toutes ces décennies passées en gaspillages divers et variés : gaspillage des ressources de la planète au nom d'un esthétisme ou d'un confort de vie pas toujours nécessaire... Gaspillage des ressources humaines par des conflits ancestraux, ethniques, religieux ou sexistes, qui en divisant le monde, divise aussi notre conscience... Gaspillage de soi par le jeu social qui bouscule qui l'on est pour tenter de nous formater conventionnellement afin de pouvoir recevoir le "bénéfice" d'une société qui nous "fédère" en une communauté...

Le superficiel, c'est le culte de l'inutile, le culte du paraitre, le culte de l'image...
L'image, si importante de nos jours... Il est préférable de savoir bien paraitre que d'être réellement quelqu'un, et le jeu social prend appui sur des caricatures retouchées de nous-mêmes selon les besoins et les situations...

Il existe une catégorie de gens dotée d'un charisme naturel et particulier, et aussi une catégorie de gens moins charismatiques qui pensent qu'en élaborant un "paraitre", on peut rayonner de la même façon...
Mais rajustons nos esprits : il y a des choses que l'on ne peut pas feindre ni imiter...
Par exemple, on a inventé les cabines de bronzage certes, mais qui a pu réaliser une réplique parfaite, même en miniature, de notre vrai soleil ?...
Imiter n'est pas exister, et le paraitre "travaillé" ne vaudra jamais "l'être" spontané, quoi que puissent en dire tous les manuels de bonnes manières et de "comment se comporter en société"...
On peut paraitre "être" en surface, mais... quand le vernis commence à sauter, qu'est-ce qu'on trouve derrière ?...

La passion a cet avantage certain, de nous affranchir de tout regard extérieur, parce qu'elle porte en elle un pouvoir énergisant bien plus dynamique que l'approbation des autres, que l'image et le superficiel tentent de quémander. La passion se vit en dehors de toute recherche de reconnaissance par autrui, parce qu'elle est en général un processus très personnel, et qu'elle a un effet auto-gratifiant.

Le superficiel est un esclavage nécrosant qui chasse bout après bout toute notre essence... et notre essentiel... Mais après tout, peut-être que je n'ai pas tout compris aux enjeux du superficiel... et qu'il est réellement important pour l'avenir et le moral de la planète, de s'intéresser à la grossesse de Céline Dion ou au chien de Barak Obama, et de savoir qui, de Jonathan ou son semblable sortira du loft à la fin de la semaine... ça nous donne d'autres choses à penser, au risque de nous masquer une partie des priorités qui devraient être les nôtres...

L'importance des choses est toujours d'une relativité absolue, et l'appréciation de la superficialité est elle-même très subjective...

 

3 septembre 2009

La "première fois"...

Combien y a t- il de "première fois" dans une vie ?...

Demain, c'est la rentrée des classes : beaucoup d'enfants rentreront pour la première fois dans un lieu qui leur est encore étranger...
La première fois...
A chaque fois qu'on affronte une situation pour la première fois, son aspect "inédit" fait que nous ne pouvons pas nous en faire une parfaite représentation... mais sa représentation, en fait, n'est qu'à rapprocher de toute situation de "première fois"... pour l'envisager sereinement...

Il n'existe aucun baptême de "la première fois"... parce que celles-ci se renouvellent en permanence dans nos vies.
C'est la vie même ce renouvellement...
Si nous n'avions qu'une seule expérience de "première fois" à vivre dans une vie... ça risquerait d'être un peu monotone la route...

Mais de quelles "première fois" se souvient-on quand on les rappelle en mémoire ?...
Sans le savoir et sans le vouloir, la mémoire effectue un tri préalable des situations de "première fois" rencontrées, et établit ses propres critères de représentativité...

La première fois où l'on respire ?...
La première fois où l'on a faim ?...
La première fois où l'on désire ?...
Est-ce qu'on s'en rappelle bien ?...

La première fois qu'on voit le soleil ?...
La première fois qu'on a froid ?...
La première fois qu'on s'émerveille ?...
Est-ce qu'on les garde ces souvenirs-là ?...

On a la mémoire saturée, squattée par des informations inutiles, et l'on oublie parfois tous ces petits bouts de moments clés de nos vies, qui font notre histoire, mais qu'on a viré de nos tiroirs...
Sûr qu'on peut pas tout garder...

Ce qui est certain, c'est que les "première fois" sont toujours des portes ouvertes vers tous les possibles... même quand de loin, on a l'impression qu'elles ouvrent sur un ring...
Parce que, de toute façon, on ne peut pas les éviter...
Il faut les prendre pour ce qu'elles sont : un cadeau surprise...

Toutes ces "première fois"... ça laisse songeur, tiens !... ...

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25 août 2009

Les femmes pleurent...

LES FEMMES PLEURERAIENT PENDANT 16 MOIS....

Lu sur Zigonet

" Le sondage réalisé sur 3 000 personnes, a été mené par le site internet TheBabyWebsite.com. Il a mis au jour que les raisons pour lesquelles les femmes pleurent changent radicalement durant leur vie. Entre sa naissance et l'âge de 78 ans, une femme passerait plus de 12 000 heures à pleurer, pour différentes raisons comme la colère (quand elle est enfant) ou plus tard la tristesse d'être célibataire. Durant les trois premières années de leur vie, les femmes pleurent trois heures par jour, demandant à être changées, nourries ou amusées. Devenues plus grandes, les adolescentes pleurent environ 2 heures et 13 minutes par semaine. A partir de 25 ans, cette durée augmente à 2 heures 14 minutes par semaine principalement à cause des histoires de coeur et des films à l'eau de rose."

Quand j'ai lu cette information, quelques interrogations qui sont arrivées en vrac :

** Peut-on cumuler les 16 mois sur une période donnée pour être débarrassées de l'affaire ? Y a t-il une posologie idéale pour bien vivre avec ?

** Avec le manque de temps dont souffre tout le monde en ce moment, quand trouve-t-on 2h14 dans la semaine pour s'adonner à la pratique ?
Et peut-on alors exiger un allègement d'horaires (tant à la maison qu'au travail) de façon à pouvoir exploiter ce temps comme il convient ?...

** Ne pourrait-on pas, dans un souci de protection et de préservation des ressources naturelles, trouver un moyen de récupérer toutes ces larmes de femmes ?... 
On pourrait même, peut-être, en tirer un sel très doux, qui épiceraient nos plats d'un subtil mélange...
Ou abreuver la terre de ces larmes versées... ça sauverait peut-être la planète un système d'irrigation basé sur les émotions des gens plutôt que sur leurs intérêts...
Les rivières de la vie....

** Doit-on annoncer la nouvelle aux enfants dès qu'elles sont en âge de comprendre ?...
Elles pourraient ainsi se rendre compte par de très simples calculs arithmétiques si elles ne dépensent pas un peu trop en "broutilles" ce capital précieux...
Et...

Doit-on présenter ça comme une "bonne" ou une "mauvaise" nouvelle ?...


" Que deviennent toutes les larmes qu'on ne verse pas ?"
Jules Renard

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