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EMBARQUEMENT IMMEDIAT...
6 juillet 2010

Le jour se lève...

" L'avenir parait tellement plus léger dès qu'on refuse d'en faire cas."
François Moreau

Dans l'absolu, ce genre de citation digne héritière du "Carpe Diem" semble être une sage direction, mais dans notre réalité tridimensionnelle, il est aussi rassurant de savoir, ou d'avoir pour le moins quelques présomptions, du terrain sur lequel on pose nos pieds...

Refuser de faire cas de l'avenir, est-ce que c'est sécurisant et constructif, ou est-ce jouer à pile ou face avec son destin ?...

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20 juin 2010

Ce que nous voulons...

" Nous obtenons ce que nous pensons que nous le voulions ou non."
Dr Wayne W. Dyer

L'état d'esprit que nous entretenons quotidiennement est un terreau dans lequel nous semons nos graines d'avenir...
L'avenir est une projection que nous faisons depuis notre présent jusqu'à nos envies... ou bien jusqu'à nos craintes...
Quoi que nous puissions projeter, nous en fabriquons consciemment ou non, une image mentale, qui nous habite. Il serait vain, et stupide, de croire que toutes ces projections n'ont aucune incidence sur le cours de nos existences...

En effet, ces pensées que nous entretenons conditionnent nos actions et nos réactions : nous agissons rarement en toute neutralité même quand nous faisons des choix "par défaut".
Le mécanisme est assez simple, et nous pouvons tous aisément le vérifier.
Quand nous souhaitons ardemment que quelque chose se produise ou se réalise, nous faisons tout en ce sens et nous ne comptons pas notre investissement, alors que quand nous considérons un objectif comme étant inatteignable, nous faisons des efforts modérés, convaincus de l'inutilité de s'y investir...
Et en général, dans un cas comme dans l'autre, l'issue est conforme à la projection initiale...

Il convient donc d'avoir une bonne hygiène de pensées, et de chasser de son esprit toute inquiétude ou pessimisme, qui ne peuvent rien apporter de constructif à nos plans d'avenir et de présent.
Il y a bien des moments où le doute nous tiraille, et où nous nous demandons si raisonnablement nous pouvons penser que nous parviendrons à nos buts : le doute peut être un bon serviteur, tant qu'on reste maître de sa propre confiance.
Le doute ne devient négatif que lorsqu'on lui déroule le tapis rouge et qu'on le laisse investir tout le champ de nos pensées.
Le doute, comme le stress ou la peur, ne sont rien : ils n'ont aucune existence réelle... ce ne sont que les fruits de ce que nous pensons. Libre à nous de nous pencher vers d'autres arbres aux fruits moins vénéneux !...

Se plaindre, se lamenter, se victimiser et envisager la vie sous un angle noir sont le propre d'un comportement irresponsable, parce que nous sommes responsables de ce que nous pensons.
Si parfois nous n'avons aucune prise sur les circonstances, cela ne veut pas dire que nous n'ayons aucun moyen d'action, et qu'à jamais les portes du futur se sont refermées, nous laissant sur le paillasson sans les clés !...
Rien ni personne ne peut commander nos pensées...
Naturellement, il existe des personnes "toxiques", qui peuvent influencer ce que nous croyons : à chacun d'être vigilant et de savoir faire valoir en son for intérieur, que nous savons toujours mieux que personne ce qui nous convient, ce qui nous procure joie et plaisir, et que personne d'autre que nous ne peut décider de ce qui est bien ou mal pour nous.
Si nous ne sommes pas capables de choisir nous-mêmes quelles pensées nous souhaitons entretenir, quel pouvoir de décision nous reste-t-il ?...

La pensée agit, de façon consciente... autant que de façon inconsciente... pour voyager de l'instant présent jusqu'aux temps à venir, et quoi qu'il arrive, la pensée aime à atteindre sa destination en respectant les consignes du Tour Opérator que nous sommes...

Vers quelle destination avez-vous envie de vous diriger ?...

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19 juin 2010

Pladoyer contre la folie ordinaire...

" Etre raisonnable en toutes circonstances, il faudrait être fou ! "
Raymond Devos

Etre raisonnable... tout un programme !...
Je ne sais pas pourquoi on a tendance à considérer le fait d'être "raisonnable" comme une qualité ?... sauf à prendre en compte le conditionnement dont nous sommes le jouet depuis notre plus tendre enfance...

Où est la frontière entre la folie et la raison ?...
N'est-il pas fou de se contraindre à une existence qui va à l'encontre de nos désirs au prétexte normatif de rester dans le "raisonnable" ?...
Est-il plus raisonnable d'adopter de façon grégaire des comportements et conduites socialement installées même au détriment de son propre bien-être, ou bien de chercher en soi l'équilibre de sa propre vie ?...

En grandissant, on devient raisonnable, dit-on... c'est-à-dire qu'on se plie sans hurler, ni pleurer, aux règles, lois et et autres principes sociaux, relationnels, moraux voire conceptuels, qu'on nous inculque dès le berceau, c'est-à-dire que l'on apprend à vivre avec la frustration comme un état normal de l'être. Car c'est bien de "normalité" dont il s'agit là : celui qui dévie de la norme se met en marge, et ce terrain marginal est vaste : il se décline de l'inadéquation à la folie...

Etre raisonnable en toutes circonstances est le plus sûr moyen de passer à côté de soi-même...
C'est souvent dans nos moments de déraison qu'on se découvre, car nous y jouons notre vrai personnage, quitte à nous surprendre nous-mêmes, et goutons au doux plaisir de s'échapper du troupeau de comportements attendus et bienséants pour savourer le plaisir d'être soi...

Il y a des circonstances qui appellent à la "déraisonnabilité", les plus communes sont l'amour et le plaisir, les deux pouvant cheminer côte à côte comme des lignes parallèles, ou bien se mêler...

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17 juin 2010

Décontaminons...

Tiré du livre "Les Mots qui polluent, les mots qui guérissent" de Joseph et Caroline MESSINGER

" ... Il existe un rapport très étroit entre le mot et l'image de soi qui est le versus de l'image publique. L'image de soi est l'image du roi qui règne sur un immense royaume, celui de la conscience d'exister par la grâce de tous les mots qu'il possède.
C'est aussi le miroir d'une existence qui se déroule sous les projecteurs de votre ressenti, dans le brouhaha des paroles échangées, mais aussi sous le regard d'autrui.
Image de soi, image publique !
Le danger qui nous guette tous est la banalisation du langage construit, jour après jour, sur des stimulations verbales répétitives et vidées de toute émotion, mais carrément polluantes pour les oreilles qui les entendent.

(...)

Il y a des mots qui freinent la vie, des mots qui polluent la confiance en soi, des mots qui dévalorisent l'estime de soi et des mots qui tuent.
Mais il existe aussi des mots qui libèrent, qui gratifient, qui sentent bon et qu'on écoute avec ravissement.

Le choix des mots est comme le choix des armes. Ils sont indispensables pour évoluer vers le bien-être affectif, psychologique ou professionnel.
Le discours est une programmation qu'il est toujours possible de modifier. Tous les vilains petits canards peuvent devenir des cygnes.
Les mots sont des quanta, des grains d'énergie positive, neutre ou négative.
A vous de choisir le menu en prenant conscience de la valeur émotionnelle qu'ils véhiculent.
Il y a des termes infréquentables et d'autres qui enrichissent votre image sociale et font la fortune de votre bien-être. "

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31 mai 2010

Journée sans tabac...

" Il n'est pas difficile de décider d'arrêter de fumer. Je le fais tous les jours."
Mark Twain

La journée mondiale sans tabac a lieu chaque année le 31 mai depuis 1988, sous l'égide de l'Organisation Mondiale de la Santé(OMS). Lors de cette journée il ne doit pas être vendu de cigarette.
La journée a pour but de faire passer une prise de conscience globale sur les dangers du tabac pour la santé des consommateurs comme de leur entourage :  sur 650 millions de fumeurs, cinq millions meurent chaque année à cause de problèmes de santé liés au tabagisme selon l'organisation.

composition_cigarette

(cliquer sur l'image pour l'agrandir)

"Une cigarette, c’est du tabac enveloppé dans un petit morceau de papier. Chacun sait déjà que l’on y trouve de la nicotine et du goudron. Mais ce ne sont pas moins de 4 000 substances chimiques que l’on inhale avec la fumée de cigarette, dont plus de 40 sont classées comme cancérigènes. A titre d’exemples, voici 25 des plus connus sur ce schéma..."

Source : Je-veux-arreter-de-fumer.com


Fumer provoque (entre autres) :

** Fatigue
** Toux du matin
** Manque de résistance
** Impuissance/ frigidité
** Teint gris dû au rétrécissement des vaisseaux sanguins
** Douleurs dans le bras gauche
** Rhumes et grippes plus fréquents
** Enfants prématurés et allergiques
** Insuffisances respiratoires
** Difficultés dans les sports d'endurance

Bon, ben... c'est pas bien glop tout ça...
Depuis le temps qu'on nous le dit : ce serait peut-être temps de comprendre que fumer la clope, c'est pas le top !!...

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30 mai 2010

Le choix de l'accomplissement ?...

" Le destin n'est pas une question de chance, mais une question de choix : il n'est pas quelque chose que l'on doit attendre, mais quelque chose que l'on doit accomplir."
William Bryan

Ne nous leurrons pas, on est nombreux dans ce cas... à attendre que le film commence sur l'écran de notre vie, patiemment, passivement, pendant longtemps...
Dans cette sorte d'attentisme hypnotisant de l'inaction, s'égrènent et s'enfuient avec le temps qui passe, toutes ces opportunités qui nous passent sous le nez, sans même souvent qu'on les ait remarquées... ou bien terrorisés par le passage à l'acte, on préfère rêver que de s'exposer à prendre le risque de tenir notre propre rôle...

Peut-être sommes-nous un peu trop imprégnés d'une culture judéo-chrétienne qui nous tient prisonnier, dans des illusions de destinée, qui nous font croire que les dés sont lancés d'avance, et que l'on ne peut ni dévier leur course, ni les rejouer... et que l'on ne peut compter que sur la chance... et accepter sa malchance...
Mais tout cela n'est qu'une question de croyances...

Nos croyances influencent nos vies, nos choix d'action et d'inaction, parce que c'est notre système de référence qui rend toute chose possible ou impossible : il suffit de se persuader d'une vérité pour croire qu'elle est la seule valide... Mais la vérité n'est jamais qu'une théorie à laquelle on adhère, et comme toute théorie, elle est donc réfutable.
Ainsi, quand on accepte de sortir du concept du destin, par lequel tout serait écrit d'avance, on fait un grand pas vers sa propre réalisation, puisque l'on admet alors que le destin est conséquence d'actions, plutôt que déroulement des épisodes d'un feuilleton...
Dès lors, on sait que le scénario est à tout moment modifiable, qu'on ne subit pas un destin, mais qu'on le choisit et qu'on le construit... Et pour construire, il faut agir...
Rien ne sert de rester devant son tas de parpaings : si l'on veut en faire une maison, il faut retrousser ses manches, et monter les murs...

Mais avant d'agir, encore faut-il avoir pris le temps de construire, réfléchir et imaginer son projet : la pensée est l'antichambre de l'action...
Et puis surtout, il ne faut pas oublier que la puissance de l'imagination est supérieure au pouvoir de la volonté...
Nous possédons tous, en nous, notre propre baguette magique, par laquelle nous nous jetons des sorts, bons ou mauvais, suivant comment on raisonne et projette l'avenir...

Et gardez à l'esprit que :
"Toutes les personnes qui se sont rendues là où elles sont, ont eu à commencer là où elles étaient." (Richard Paul Evans)

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29 mai 2010

Attention, Mesdames et Messieurs... ça va commencer !..."

" Soyez toujours prêts à être surpris."
Swami Prajnanpad

S'il y a quelque chose susceptible de pouvoir nous faire stagner, c'est bien la résignation : croire que les choses, les situations que nous vivons ou les relations que nous entretenons avec les personnes de notre entourage, sont ce qu'elles sont et qu'elles ne peuvent pas changer...
Rien n'est jamais ni acquis ni figé : notre vie est comme le balancier d'une pendule, qui sans cesse oscille au présent, entre passé et futur, sauf que l'espace de notre "cadran" est bien plus grand que l'espace offert au balancier pour marquer les heures de la journée...

Etre toujours prêt à être surpris est l'attitude la plus raisonnable à adopter, si l'on souhaite poser un regard sain sur l'avenir : l'histoire fourmille d'anecdotes qui tendent à démontrer que c'est souvent au moment où l'on s'y attend le moins que nos vies prennent des tournants qui changent toute la trajectoire...
Etre toujours prêt à être surpris, c'est aussi ne pas tenter d'organiser l'avenir selon les schémas qui nous semblent les plus probables, mais d'accepter la réalité comme elle se présente, qu'elle corresponde ou non, à première vue, aux attentes qu'on peut avoir...
"Tout arrive toujours au moment opportun", j'y reste plus que jamais fidèle, et peu importe si je ne comprends pas toujours l'opportunité des évènements sur l'instant : il y a toujours un moment où la lumière se fait...

Etre toujours prêt à être surpris, c'est lâcher prise, c'est accepter que nous ne pouvons pas tout maitriser, mais que cela n'est absolument pas grave, parce que quand nous acceptons de vivre en confiance, beaucoup de barrières et de limitations tombent d'elles-mêmes, vaincues par un optimisme qui force la chance et nourrit le sourire beaucoup plus que l'espérance ne peut nous rassasier.
La confiance n'a rien à espérer ni à attendre : la confiance nous rend la vie autonome... indépendante de toutes circonstances, agréables ou désagréables, elle nous fait traverser la vie sans craindre les tempêtes, comme un gilet de sauvetage que nous savons à l'épreuve de toutes les intempéries, pour nous maintenir à flot quoi qu'il arrive...

Etre toujours prêt à être surpris, c'est garder toujours cette curiosité pour demain, qui nous donne l'envie de continuer, pour avoir l'occasion de découvrir, connaitre, apprendre, contempler, admirer... des tas de choses, des sensations, des émotions... que nous ne connaissons pas encore, ou que nous n'avons pas éprouvé depuis quelques temps...
Etre toujours prêt à être surpris, c'est savoir que tout a toujours sa raison d'être...

Alors, attention, Mesdames et Messieurs, ça va commencer !...
Dès lors que vous cesserez d'appréhender demain comme un fardeau potentiel à venir, mais que vous y parviendrez comme une évidence parce que demain succède toujours à aujourd'hui dans une logique temporelle, que l'on ne peut pas remettre en question...
Dès que vous cesserez de réagir aux évènements avec le désespoir d'un enfant qui se sent impuissant, mais que vous saurez calmer votre esprit qui s'emballe quand vous vous sentez submergé par l'opacité des circonstances qui vous ont imposées...
Dès que vous serez prêt à accepter que la vie est un cadeau et non une punition...
Alors... Vous serez surpris de la facilité avec laquelle on peut apprécier tous les moments et toutes les couleurs de la vie...

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28 avril 2010

Chemin faisant...

" Là où il y a une volonté, il y a un chemin."
Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine

Nous sommes toujours maîtres de notre destin, et c'est notre volonté de le diriger qui nous fait prendre tel ou tel embranchement aux carrefours que l'on rencontre.
Il n'existe personne qui puisse nous contraindre à prendre un chemin que nous ne désirons pas suivre, tant que l'on est prêts à accepter et assumer les conséquences de nos choix.
La vie n'est jamais qu'une somme de choix, que l'on décide de faire soi-même ou auxquels on se soumet en laissant d'autres les faire à notre place. Notre liberté réside avant tout, dans notre pouvoir de décision.

Si l'on ne tient pas à suivre les grands chemins tracés par l'habitude, la peur et la sécurité, il faut bien tracer le sien propre, ce qui s'avère toujours moins facile et confortable que de suivre les grandes voies de circulation bien balisées : le paysage y est à découvrir et à inventer...
Chacun a la possibilité de chercher et de trouver, dans sa propre nature, les paysages qu'il veut contempler et les moyens d'atteindre ses envies.
Quand la volonté de suivre son propre itinéraire est bien là, on trouve comment tracer sa voie... parce que le "hasard" se met toujours au service de nos rêves si l'on ne doute pas qu'on peut les réaliser...

Il n'y a qu'une façon pour que la vie s'adapte à nos envies : c'est de les placer en exigences non négociables... n'en déplaise aux notions de diplomatie basique, que les esprits frileux peuvent mettre en avant pour justifier des compromis coûteux en énergie et en estime de soi.
Sur le chemin, il est parfois nécessaire de courber le dos, si une épaisse végétation ou autres obstacles naturels ne peuvent être d'emblée vaincus, mais courber l'échine devant la réalité des éléments n'est ni avilissant ni frustrant dans la mesure où reconnaitre ses propres limites est plus une preuve de force que de faiblesse.
Courber l'échine par peur ou par lâcheté, sans même oser affronter l'obstacle ne permet de retirer aucune satisfaction par contre... et renforce un sentiment d'injustice et de culpabilité qui fragilise notre estime, sans rien apporter en retour...

Comme le disait déjà Démocrite en son temps : " Le caractère d'un homme fait son destin."

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26 avril 2010

Petit clic pour méga claque...

" L'homme moderne communique souvent mieux avec sa souris qu'avec sa langue."
Paul Carvel

Les avancées de la technologie nous propulsent, de gré ou de force, sur des modes de communication qui changent l'espace de notre réel. En ce sens, la révolution du virtuel nous coute au moins, aussi chère en inconvénients, qu'en gain de temps avéré... mais il faut désormais composer avec : c'est le problème avec le "progrès", il ne permet que rarement un retour en arrière même quand son bien fondé est contesté...

Si les orateurs jouissaient autrefois d'un certain pouvoir, c'est parce qu'au-delà du talent oral, on admirait le courage de porter haut et fort sa parole devant un public, s'exposant par là à un droit de réponse qui pouvait être déstabilisant.
Le clavier et la souris, nous offrent la sécurité d'un écran de protection, qui nous protège de toute réaction spontanée...

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15 avril 2010

Aucune importance...

" La chose la plus difficile au monde est de n'attribuer aucune importance aux choses qui n'ont aucune importance."
Charles de Gaulle

Combien de fois ressentons-nous un énervement à propos de futilités qui devraient passer largement au-dessus de nos priorités ?...
Trop !... Beaucoup trop...
Il s'agit bien alors, de décider quelles limites nous voulons fixer à l'importance des choses, et en la matière il n'y a aucun repère pour prendre ses marques...

Devant des problèmes véritables et conséquents, nous savons tous qu'il nous faut prendre le temps d'y réfléchir, d'évaluer nos marges de manœuvre, les possibilités et les impossibilités, les enjeux et les conséquences des décisions que l'on prendra... mais devant toutes les petites agaceries de la vie, notre cerveau semble parfois se dissoudre dans un bouillonnement émotionnel qui pénalise notre capacité à relativiser...
Pour une bonne part, le fautif c'est notre orgueil...

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